Le Joueur d'échecs
Le Joueur d'échecs
20,00 €
- Paru le 04/10/2017
Détails : 128 pages - 24.2 x 32.1 cm - Couleur - Relié
- ISBN : 9782203093478 - EAN : 9782203093478
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Genre : Roman graphique
Thèmes : Nazisme Seconde Guerre mondiale XXe siècle
David Sala adapte le chef d’œuvre de Stefan Zweig en BD.
Les premiers pas furent un fiasco, je n'arrêtais pas de m'embrouiller, cinq, dix, vingt fois, je dus reprendre le début de la partie.
Mais j'avais tout mon temps... Moi, l'esclave du néant...
1941. Dans les salons feutrés d'un paquebot en route pour l'Argentine, le champion du monde d'échecs affronte lors d'une ultime partie un aristocrate viennois, dont l'incroyable maîtrise du jeu est née dans l'antre de la tyrannie.
Cette dénonciation poignante et désespérée de la barbarie nazie est le dernier texte écrit par Stefan Zweig avant son suicide.
Mais j'avais tout mon temps... Moi, l'esclave du néant...
1941. Dans les salons feutrés d'un paquebot en route pour l'Argentine, le champion du monde d'échecs affronte lors d'une ultime partie un aristocrate viennois, dont l'incroyable maîtrise du jeu est née dans l'antre de la tyrannie.
Cette dénonciation poignante et désespérée de la barbarie nazie est le dernier texte écrit par Stefan Zweig avant son suicide.
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- Une adaptation puissante de la célèbre nouvelle de Stefan Zweig, publiée peu après son suicide en 1943.
- Le choix des codes esthétiques de l’Art nouveau et des années 1920, un traitement à l’aquarelle qui fait de chaque case un tableau.
- Une partie d’échecs où s'affrontent deux personnalités diamétralement opposées, que l’on peut aussi voir comme une métaphore d’une Europe déchirée par la guerre et le nazisme.
- Un autoportrait à peine déguisé de Stefan Zweig en aristocrate viennois, une histoire poignante derrière laquelle se profile le drame de sa mort.
- Le choix des codes esthétiques de l’Art nouveau et des années 1920, un traitement à l’aquarelle qui fait de chaque case un tableau.
- Une partie d’échecs où s'affrontent deux personnalités diamétralement opposées, que l’on peut aussi voir comme une métaphore d’une Europe déchirée par la guerre et le nazisme.
- Un autoportrait à peine déguisé de Stefan Zweig en aristocrate viennois, une histoire poignante derrière laquelle se profile le drame de sa mort.
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